L'histoire sans fin... [collectif]

Donc voici un jeux dont le principe est asser simple et asser courant dans un forum.
Il suffit que quelqu'un écrive une phrase qui serait le début d'une histoire, qu'une autre personne continu et ainsi de suite pour ensuite creer une vrai histoire.
Donc je commence^^ (Honneur aux dames? -_-') (le titre a été choisit en fonction de l'ésprit du texte, si cette ésprit change, alors le titre aussi^^)
Règle : la taille maximale d'un post est de 3 phrases. Evitez quand même de poster une phrase seule.

L'impératrice des rêves

C'était une nuit lunaire, le souffle du vent rappelait le doux gémissement de Dame nature, les étoiles veillait, une fois de plus, sur le bien être de la nuit. Nuit par ailleur banale! Mais c'est a ces moments là que Iris aimait à se promener... (suite)

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Phénix Nombre de messages : 578 Age : 37 Date d'inscription : 23/08/2007

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Tous les soirs elle évacuait toutes ses pensées de la journée en appréciant simplement le silence et la vie.
Elle avançait, ses longs cheveux au niveau de ses mollets rencontrant les hautes herbes humides du bors de la rivière, à la frontiere du village.

3 phrases maximum^^

Son esprit vagabondait au gré de ses pas, de l'ondulement de ses cheveux, de la douceur de la pleine lune se reflétant dans l'onde des petites vaguelettes. Elle sentait que cette nuit, d'apparence banale, ne serait pas de tout repos. Sa chair s'hérissait, une sueur froide s'emparait peu à peu...

Phénix Nombre de messages : 578 Age : 37 Date d'inscription : 23/08/2007

Spoiler:

L'atmosphere lui paraissait soudain étrengemment lourde, comme lorsqu'un orage s'apprête à éclater. C'était comme si le ciel descendait peu à peu.
Soudain une des étoiles devint beacoup plus brillante, comme si elle se rapprochait à toute vitesse !

Le coeur d'Iris s'embala soudainement, lui arachant un cri a peine perseptible mais qui lui parût assourdissant. Ses pupilles se dilatèrent, sont corp se déroba sous elle. Elle se sentit acablée d'une tristesse infondée, comme si un ésprit autre que le sien s'était emparer d'elle.

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Le faible lumière de l'astre lunaire se reflétant dans l'eau ne suffisait pas à la tranquilliser. Elle le ressentait, lui, un esprit, une conscience, un étranger qui s'était immisé dans son corps, dans son âme. L'esprit n'était que tristesse et solitude, comme un enfant appelant désespérement à l'aide, tellement loin de chez lui, ne parlant que par images.

Un murmure s'éleva, soudain, comme venant de la lune. Le vent parpût comme puissant, mais aucune feuille, aucun bruis, aucune vaguelette parût ondoyer plus encore. Et c'est là qu'elle vît une forme, au loin, à la lizière de la forêt qui recouvrait la la montagne d'Iregna.

Phénix Nombre de messages : 578 Age : 37 Date d'inscription : 23/08/2007

La curiosité la piqua, lui ordonnant d'aller au dehors des limites de sécurité du village, mais alors qu'elle partait en direction de la forêt, une ombre passa rapidement devant elle à quelques mètres. Sans doute un de ces nombreux loups qui traînent au-delà de ces limites. Iris regarda alors derrière elle, la lueur du feu au centre du village la rappelait, lui demandait de rentrer dormir et elle finit par reprendre la raison et rebroussa chemin.

Lorqu'elle arriva a se petite chaumière, tout le monde dormait. Elle aussi sentait l'envi du songe tendre ses doux bras de velours vers ses paupières lourdes de sommeil, mais néammois tirailler par la peur. Elle alla dans sa chambre, enleva ses vetements trempé de sueur et glissa son corp aux douces courbes de poupée dans les dras.

La fatigue se faisait forte et elle ne tarda pas à sombrer dans les limbes du sommeil, en compagnie du souvenir de la silhouette aperçue plutôt. Mais son esprit était encore rempli des images que lui avait montrées l'esprit : des villages en feu, des cris, des pleurs.

A son reveille, une odeur acre emplie ses narines. Elle enfila une chemise de soie et sortie. Le village se fesait dévorer par des flammes avides de combustibles, la pluparts des villagois était allongé par terre, en rangs, comme pour une execution massive.

Des flammes, encore des flammes toujours des flammes comme si Satan lui même avait désigné son village pour ériger un nouvel enfer. Un cri sourd sorti de sa bouche, ses yeux horrifiés laissèrent échapper des larmes ; elle se précipita vers ses voisins, amis... Pas un seul ne semblait avoir échapper à ce carnage ou plutôt cette folie de ne pas avoir tenté de fuire. Alors pourquoi avait-elle été épargnée elle ?...

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elle courait dans le village comme une bête apeurée, ne pensant à rien d'autre qu'à sa survie. Autour d'elle, les langues de feu dévorait avidement les maisons, les arbres, les corps. Alors qu'elle déboulait à un coin de rue, elle l'aperçut, la même forme qu'elle avait vu plutôt dans la nuit, silhouette noir au milieu des flammes.

Puis, tout fût froid, les couleurs disparurents, puis peu a peu les formes l'entourant devinrent floues. Le même sentiments la submerga. La tristesse, la peur... Tout revint comme venant d'un ésprit égarer, prenant dans son corp afligé de tristesse, lui aussi, comme pour prendre refuge.

elle le revit, cet autre village en feu, celui dont elle avait rêvé. C'est comme si elle y était, mais ce n'était pas elle, c'était cet esprit, ou plutôt son corps, quand il n'était pas encore un esprit et il tenait une enfant morte dans ses bras et elle sentit des larmes perlées de ses yeux. Puis la rage prit le pas sur la tristesse et le visage se releva, lui montrant une silhouette noire riant au milieu d'un village en feu, toujours la même silhouette noire.